L’émotion de la peur conduit à l'échec scolaire, à la conduite d'échec, et à la phobie scolaire

Il existe plusieurs manifestations concernant les troubles précoces de l'échec scolaire dû à la peur chez un enfant. Le fait d'avoir des troubles tels que

• la dyslexie,
• la précocité intellectuelle
• les troubles de l'attention
• une forme de culpabilité
• un manque de confiance en soi
• du harcèlement
• peur de l'échec
• peur des responsabilités entraînent un retard dans la scolarité sous toutes ses formes.

Dans la conduite d'échecs, certains enfants échouent de manière chronique (même si il a du potentiel). Il commence à mettre en lui un jugement dépréciatif (je suis nul, je n’y arriverai pas…), qui s'inscrit dans son petit corps. L'enfant programme ses échecs en se répétant par pensée et par parole, qu’il n'est bon à rien et qu'il n'y arrivera jamais.

Quant à la phobie scolaire, qui est plus courant dans cette société, l'enfant est submergé par une peur quelconque liée soit à l'environnement de l'école (critique, scolarité difficile...) ou peur de perdre l'amour de sa mère, d'être abandonné due à cette rupture (l’école).

Il y a une telle détresse, que certains enfants se rendent malade à la simple idée de mettre un pied à l'école. Alors survient des crises d'angoisse, des maux de ventre, mal de tête, vomissement…

Cette peur provoque des réactions physiologiques et psychologiques limitant les bonnes performances de l'enfant (potentiels, ressources…)

Alors, comment renforcer la confiance en soi (croire en soi) et la capacité d'espoir ?

Eh bien, on valorisant sa propre image, en prenant la juste distance par rapport aux enjeux présents et nécessaire (défaite et victoire, perte et gain) par la pratique de la sophro-sonothérapie (la sophrologie en symbiose avec des instruments vibratoires)

Pour corriger les effets négatifs de ces manifestations dus à des peurs, et en assurant le renforcement de la personnalité de l’enfant. Au niveau mental, on utilisera des évocations positives et différentes respirations pour lâcher les tensions inutiles du corps, de la relaxation dynamique du premier degré et du deuxième degré, pour renforcer la confiance et estime de soi, tout en valorisant son image…

La sophro-sonothérapie participe fortement au développement des capacités créatives de tout à chacun, elle favorise l'accroissement des synapses et permet de mobiliser les différentes zones cérébrales. Les grandes idées surgissent rarement pendant le travail, mais plutôt dans les moments de lâcher-prise. C'est dans les moments où nous lâchons le problème à résoudre que nous laissons la possibilité à notre cerveau de produire une solution tout à fait inattendue.

Issue de recherches complémentaires en psychologie comportementale et cognitive, notamment initiées par Paul Ekman à partir des années 50. Ce modèle simple est le plus utilisé par les professionnels de la relation d'aide ou d'accompagnement. On considère donc que nous avons 4 émotions de base : joie, tristesse, peur et colère

Docteur Catherine Guéguen, à rassembler de très nombreuses recherches sur le sujet.
Un enfant dont l'émotion est ignorée ou incomprise va développer un état de stress qui active l'amygdale cérébrale - centre de la peur, et provoquer la sécrétion de cortisol et d'adrénaline, toxique pour la santé psychologique et motrice.

Professeur Francisca Joly Gomez

L'intestin, un autre cerveau.
Les chercheurs ont récemment découvert que l'intestin est riche de neurones connectés entre eux et colonisés de milliards de bactéries intelligentes qui conduit notre appareil digestif à influer sur nos émotions et donc notre comportement.

Le professeur Francisca Joly Gomez ; rappelle que l'intestin est assez proche du cerveau d'un point de vue anatomique.

Dans l'intestin, la sérotonine régule l'humeur grâce à un nerf crânien qui permet aux signaux de faire l'aller-retour entre l'intestin et le cerveau. Nous comprenons combien l'alimentation du bébé, du jeune enfant et de l'adulte influe sur notre comportement.