Quand la sophro-sonothérapie allège le poids des émotions, du corps pour rééquilibrer le système nerveux
Le corps garde en mémoire tous les traumatismes enfouis
On croit souvent que le mental oublie, le corps, lui, n’oublie jamais.
Il garde la trace de chaque mot ravaler, de chaque émotion étouffée, de chaque peur, angoisses qui effraie pour ''avancer''. Le mental efface, minimise, met sous le tapis… mais le corps, lui, continue de parler, tous les jours, sans faire de bruit, mais rarement sans douleur.
Le corps garde en mémoire ce que l’esprit n’a pas exprimé
Lorsque l’on a eu peur ou que l’on ressent de l’angoisse, le système nerveux se mets en alerte. Et si cette peur, cette angoisse, n’a jamais pu être libérée, le corps reste en mode survie. C’est pour cela que l’on est épuisé, tendu, nerveux… même quand tout semble “aller bien”.
Comme les douleurs sans cause, non médicale, qui ne sont pas imaginaires. Elles sont émotionnelles, somatiques, cellulaires. Elles sont la mémoire de ce que l’on a traversé.
- Épaules, nuque douloureuses : On portes trop. Trop de responsabilités, trop de charge émotionnelle. On prends soin de tout le monde… mais, qui prend soin de nous-mêmes ?
- Poitrine serrée / tensions au plexus solaire : Une peine jamais exprimée, jamais autorisée à sortir.
- Maux de ventre : L’inquiétude, l’hyper-contrôle, les peurs silencieuses.
- Lombaires : Le poids des insécurités, la peur de manquer, la charge matérielle ou familiale trop lourde, la sensation de devoir tout tenir debout seul(e)
- Mâchoire crispée : La colère retenue, la parole que l'on n’as pas osé dire.
Ce ne sont pas que des tensions musculaires, c’est le langage du corps.
Le système nerveux garde les traces
Chaque choc, chaque humiliation, chaque abandon, chaque frayeur laisse une empreinte. Pas pour nous punir, mais pour nous protéger.
Le corps répète ce qu’il n’a jamais pu libérer. Il crie quand l’esprit refuse d’écouter.
La bonne nouvelle ? On peut s’en libérer.
Mais pas en pensant plus, pas en analysant plus, pas en ‘’contrôlant plus.’’
On s’en libère en ressentant différemment en offrant au corps ce qu’il n’a jamais eu :
un espace, une permission, une sécurité.
Réguler le système nerveux : une guérison progressive
Le premier état d’esprit destructeur est de croire que l’on est condamné à vivre avec tous ces facteurs anxiogènes : comme la peur, le doute, l’angoisse, l’anxiété, le manque de confiance et d’estime de soi... C’est faux !
Le corps sait guérir, OUI ! Il sait se rééquilibrer, OUI ! Il sait se réparer, OUI !
À condition de recevoir un véritable sentiment de sécurité. En donnant à son corps : Respiration profonde, ancrage, douceur, présence, mouvements libérateurs, émotions autorisées, retour à soi... sons vibratoires... et bains chauds aromatisés.
Peu à peu, le système nerveux sort du mode alerte : Le corps se relâche, l’esprit s’apaise, la charge émotionnelle diminue et la vie redevient respirable.
Gérer l’anxiété ? Non. La dépasser ? Oui
Parce qu’on ne gère pas un incendie. On l’éteint, on le transforme, on apprend à recréer la sécurité que l’on n’a jamais reçue.
C’est là que le travail intérieur commence. Là que la sophrologie en symbiose avec les vibrations prend tout son sens. Là que le corps peut enfin dire : ‘’Je suis en sécurité… je peux relâcher.’’
Et c’est précisément là que la sophro-sonothérapie révèle toute sa force : en harmonisant la respiration, la conscience du corps et les vibrations des instruments. Elle offre au système nerveux la sécurité nécessaire pour libérer les mémoires émotionnelles, apaiser la douleur intérieure et réouvrir le chemin naturel de l’autoguérison.
Mon approche, elle, permet aux personnes de mettre des mots sur leur maux, de comprendre ce qu’il se joue et se rejoue, et surtout… de retrouver la sécurité intérieure pour laisser enfin le corps se relâcher.
Le corps garde la trace de ce que le mental ne traite pas et un jour, il ramène tout à la surface pour que la conscience puisse enfin le libérer. Ce que fait mon article, c’est simplement traduire ce langage corporel pour aider toutes personnes à comprendre ce qu’ils vivent. La vérité, c’est que chaque zone du corps à sa propre manière de réagir au stress, aux émotions enfouies, aux non-dits, qui sont propre à tout à chacun. Même si certains auteurs, ne donnent pas une liste détaillée, l’expérience clinique, la sophro-sonothérapie ‘’la sophrologie en symbiose avec des instruments vibratoires’’, la somato-émotionnelle et même les neurosciences montrent que :
- Le système nerveux tend certaines zones et en relâche d’autres
- Les muscles se contractent en fonction du vécu
- Les douleurs récurrentes sont souvent des messages émotionnels
- Le corps ressent bien avant que la conscience comprenne
On ne souffre pas par hasard
Sources
- Somatic Experiencing – Peter Levine (PHD)
Le travail de Peter Levine explique comment le trauma se loge dans le système nerveux et dans le corps. Il explique que des zones du corps se fige en réponse à des stress non libérés et que les tensions chroniques traduisent une mémoire somatique.
Peter A. Levine – Walking The Tyger : Healing Trauma - Bessel Van Der Kolk – Psychiatry / Traumas
Référence Mondiale
Montre scientifiquement comment le corps garde les mémoires traumatiques et comment cela peut causer des douleurs sans explications médicales
The Body Keeps The Score (Le corps n’oublie rien) - Gabor Maté – Médecin et Traumas émotionnels
Gabor Maté fait le lien entre émotions refoulées et manifestations physiques
When The Body Say No
Il explique clairement que le corps exprime ce que l’esprit étouffe.

